La prochaine réunion de la Grange de Montabot se déroulera ce dimanche 31 mars de 14 h à 18h.

Un moment important de cette réunion sera consacrée à la poursuite des discussions sur le futur de la Grange, sur ce que nous avons envie ou pas de faire ensemble, sur comment nous voyons la Grange de Montabot comme collectif et/ou comme lieu, sur comment nous pensons que peut se renouveler l’énergie portée par la Grange, etc.

Nous discuterons aussi du Week-end combatif et festif contre les piscines nucleaires EDF qui se déroulera les 13 et 14 avril à Cherbourg (50) et à Vauville (50), de la situation à Bure avec l’offensive de l’ANDRA pour s’approprier les terres dont elle a besoin pour CIGÉO et la voie ferrée y menant, les résistances en cours et les Rencontres printanières anti-autoritaires contre le nucléaire les 17-23 avril 2024 à Bure (55) .

Vendredi 29 et samedi 30 mars, lundi 1er avril : plomberie et ail des ourses
Vendredi soir : Point de situation sur la résistance à l’A69 dans le Tarn.

Côté plomberie, il s’agit de se pencher sur la mise a niveau du système de plomberie douche au feu de bois de la Grange et donc de se retrouver sur trois jours pour apprendre et réaliser une douche chaude hors réseau d’eau et au bois. Si on a le temps on va aussi jeter un coup d’œil au chauffe eau solaire qui ne fonctionne aussi pas très bien.

Comme c’est la saison, et en fonction du temps (disponible et météorologique) : récolte et process en pesto d’ail des ourses.

Enfin, des camarades de retour de la ZAD de la Calarbre contre l’A69 pourront témoigner de la situation là-bas et parler de l’appel à créer un village mobile de soutien aux luttes.

• Vendredi 29, 9h30 : Plomberie + récolte ail des ourses
• Vendredi 29, 19h30 : soirée A69
• Samedi 30, 9h30 : Plomberie + récolte ail des ourses
• Lundi 1er, 9h30 : Plomberie + transfo ail des ourses

Au plaisir de nous retrouver !

Quelques personnes de la Revue Nunatak (https://revuenunatak.noblogs.org/) en tournée par chez nous feront escale à la Grange de Montabot ce jeudi 7 mars 2024.

Outre la présentation du numéro 9 de la revue qui vient de sortir, nous pourrons discuter avec les camarades des écrits, du fonctionnement, de l’histoire et de l’actualité de cette revue d’histoire, cultures et luttes des montagnes.

Retrouvons-nous dès 19h pour manger et discuter ensemble !

Pour venir à la Grange de Montabot, voici le plan :

mail : montabot arobase riseup.net

Tél provisoire (qui dure) : o6 74 87 II 55

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Grange de Montabot, la Bossardière à Montabot (50),
route Percy-Montabot :

À gauche sur la route Percy-Montabot
1 km après le gros pylône ou,
en venant de Tessy :
2ème à droite après le bourg de Montabot

Montabot (50) à 9 km de l’A84

à hauteur de Villedieu les poêles (sortie 38)

Alors que la lutte antinucléaire est sortie de l’espace public, il semble d’autant plus important d’en faire le constat et de s’organiser pour un monde sans nucléaire. Mais avec quelles perspectives de lutte ?

Invité.es à Rennes par le groupe la Sociale pour en causer le 17 février, à 17h30 au local la Commune, nous évoquerons l’histoire et l’actualité de l’industrie nucléaire pour aborder les luttes politiques contre le système nucléaire.

À l’heure actuelle, au nom du tout électrique (polluons à la source mais soyons propres à la consommation), l’Etat français remet le nucléaire au goût du jour malgré tous ses déboires en se servant de la lutte contre les dérèglements climatiques.

Pourtant, même les ‘experts’ du nucléaire indiquent que cette production énergétique ne peut pas apporter de solution au réchauffement climatique alors que la problématique de l’eau engendrée par ce réchauffement est le maillon faible du nucléaire.

En ce moment, l’Etat français tente d’imposer la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, la mise en route d’un réacteur EPR défectueux à Flamanville, l’implantation d’une piscine supplémentaire de stockage et de refroidissement des combustibles usés à la Hague (toutes partout débordent) et un centre de stockage ‘longue durée’ (centaines de milliers d’années) à Bure dans la Meuse.
Nous proposons de discuter ensemble pour retrouver des leviers d’action et des moyens de relancer une lutte nécessaire face à une hydre, paroxysme d’un monde capitaliste ET autoritaire.

Réfléchissons ensemble aux moyens de relancer cette lutte malgré la répression contre la mouvance écologiste et plus particulièrement contre les antinucléaires, répression qui dispose de moyens disproportionnés pour la surveillance et le contrôle.

Comment mener des actions dans ce contexte ? Quelles actions mener ?
SAMEDI 17 FÉVRIER – 17h30 – local La Commune,
17 rue de Chateaudun à Rennes

REPAS & PROJECTION DU DOCUMENTAIRE MAYAPOLIS

19h à la Grange de Montabot

Mayapolis : le documentaire qui raconte l’urbanisation de la péninsule du Yucatan

Cette projection se fera en présence du réalisateur Renaud (ou Nore)

Le documentaire aborde les enjeux du développement touristique dans la péninsule du Yucatan au Mexique.
Il n’est plus nécessaire de présenter la Péninsule du Yucatan, l’une des plus importantes destinations touristiques du monde et dont la porte d’entrée principale est la ville de Cancún. En revanche, on connait moins l’intense urbanisation qui découle de la mise en tourisme de ce paradis caribéen, et ce que cela implique en termes de dépossession des terres mayas.

Mayapolis, c’est donc tout autant ce territoire indigène en cours de métropolisation que cet espace thématique maya produit par et pour l’économie touristique. C’est ce que documente ce film écrit à partir d’entretiens réalisés auprès de spécialistes du sujet.

Bien qu’universitaire, ce documentaire vise à diffuser une conception critique du tourisme et de l’urbanisation auprès d’un public plus large, dans une période où l’on ne peut plus nier l’impact des activités humaines sur l’ensemble du vivant.

Au plaisir de se retrouver, de visionner le documentaire et d’en discuter avec Nore

Pour venir à la Grange de Montabot, voici le plan :

mail : montabot arobase riseup.net

Tél provisoire o6 74 87 II 55
(le o6 5I 67 94 44 actuellement  HS)

À l’heure où la nucléocratie macronienne veut après avoir démarché l’Europe de l’est, faire (avec quelques autres) s’engager une quarantaine de pays à appeler à tripler les capacités de production nucléaire à l’occasion de la COP à venir, il est temps de se retrouver à notre échelle, celle de la Grange de Montabot.

On fait ça :
SAMEDI 2 DÉCEMBRE 2023, de 9h à 13h

Il est notamment temps de réfléchir si et comment nous pouvons nous engager contre les projets à portée de main… La relance du nucléaire et ses lignes THT comme celle entre Amiens et Petit Caux (pour l’EPR envisagé à Penly), la piscine EDF avec les camarades de Stop Piscine, CIGÉO avec les camarades du coin de Bure, Et enfin : saurons-nous empêcher l’EPR de démarrer (si EDF n’y arrive pas seul) ?

Du côté de la Grange de Montabot, il nous faut penser aux différents projets que nous avons pour celle-ci et ce que ça implique : remplacer la yourte définitivement mise hors service, réfléchir une réparation de l’éolienne voire un atelier « pales » histoire d’anticiper le vieillissement des pales actuelles, etc.
On n’oubliera pas les brassins de Nouzbi à venir, pour la Grange, en soutien ou juste pour les partager !

Au menu aussi, la préparation de la projection de Mayapolis, Tourisme et expansion urbaine dans la Péninsule du Yucatan le 15 décembre prochain, ainsi que le noël de la cantine de la Grange le lendemain.

Enfin (ou pas), nous discuterons de différentes sollicitations et invitations pour causer nucléaire et luttes antinucléaires, voire d’autres sujets.

Au plaisir de se retrouver, de discuter, de s’organiser au gré des complicités

Pour venir à la Grange de Montabot, voici le plan :

mail : montabot arobase riseup.net

Tél provisoire o6 74 87 II 55
(le o6 5I 67 94 44 actuellement  HS)

Mercredi 22/11 à 18h :

Projection-débat du film « L’explosion » (Jérôme Champion, 2007, 52’) sur la lutte de Chooz. Entre 1980 et 1984, une opposition contre la construction d’un nouveau réacteur nucléaire dans les Ardennes mêle antinucléaires, autonomes, anarchistes et familles d’ouvriers de la sidérurgie menacés de licenciements.

Suivi d’un repas partagé (auberge espagnole, ramène ce que tu veux si possible végétalien).

Local Apache, 35 boulevard Poincaré (Caen, arrêt de tram Aviation)

Vendredi 24/11 à 17h30 :

Rencontres avec des collectifs antinucléaires. Alors que le gouvernement a annoncé la relance du nucléaire et vise la construction de nouveaux réacteurs EPR tout en continuant la construction du centre d’enfouissement de déchets nucléaires, des collectifs relancent en même temps une opposition de Lille à Bure, en passant par Caen et la Hague.

Suivi d’un repas partagé (prix libre), puis d’un moment musical. Sans alcool.

Squat de la pouponnière, 138 rue d’Auge (Caen, près de la gare)

Samedi 25/11 à 16h :

Causerie sur la lutte anti-THT dans la Manche. A partir de 2008, mairies et habitants et habitantes s’opposent au tracé d’une nouvelle ligne THT visant à brancher le nouveau réacteur EPR au réseau électrique européen. Des anarchistes du Collectif Radicalement AntiNucléaire participent à la mobilisation. L’explosion d’un réacteur au Japon, à Fukushima, en 2011 relance une opposition au nucléaire, notamment contre cette ligne THT. En novembre 2011, une action de ralentissement d’un convoi de déchets nucléaires se prolonge dans l’occupation d’un bois sur la commune du Chefresne, puis d’un camp antinucléaire à Montabot en juin 2012, pendant que des centaines de sabotages ont lieu.

Local Apache, 35 boulevard Poincaré (Caen, arrêt de tram Aviation)

9h : On s’y met !
17h : Papotage (un kiosque pour remplacer la yaourte ?)
prépa frites et apéro !
19h : frites et suite papotage !

Ce 16 novembre, nous vous invitons à une journée d’entretien, de tri et de rangement à la Grange de Montabot.

La grange a besoin d’un petit rangement et de tri afin de faire la place pour le rapatriement du bois d’oeuvre qui est stocké à proximité

Il y aura aussi le tri et le déménagement des archives, tout comme celui de la photocopieuse.

Cela sous entend probablement quelques trajets vers la déchetterie.

Les véhicules (et/ou remorques) permettant de charger tout cela sont les bienvenus !!

Si l’énergie est là, un coup de débrou ne serait pas du luxe non plus.

Chacun.e amène de quoi manger ensemble le midi et soirée frites pour le diner !

Vendredi 13 octobre, 19h à la librairie le Salon des saisons
Tessy / Vire (21 pl. Jean-Claude Lemoine, face à la mairie)

Les participant.e.s à l’arpentage du livre Écofascisme d’Antoine Dubiau publié aux éditions Grévis ont trouvé une date commune pour la restitution de celui-ci après s’être partagé l’ouvrage.

Nous vous invitons à cette restitution qui se déroulera à la librairie-salon de thé de Tessy, le Salon des saisons. Outre les boissons disponibles sur place, nous aurons prévu de quoi manger et nous retrouver autour de l’ouvrage d’Antoine Dubiau.

À l’heure où il arrive d’entendre ou lire des slogans tels que « Sauvons les arbres, pas les réfugiés » et où il est aussi question « d’autoritarisme nécessaire pour sauver l’environnement », il semble important de se pencher sur la question, ce que fait le livre Écofascisme.

Tél provisoire o6 74 87 II 55
(le o6 5I 67 94 44 actuellement  HS)

En voici un peu plus, avec la quatrième de couverture :

L’écofascisme semble réductible à sa fonction de slogan, utilisé pour critiquer des formes autoritaires ou réactionnaires d’écologie politique. Mais cet usage masque les appropriations concrètes de l’enjeu écologique par les idéologies et organisations fascistes. Car si l’extrême-droite semble à première vue hostile à toute politique écologique il existe bien un risque écofasciste s’adossant à une véritable conviction écologique ainsi qu’à de robustes bases idéologiques.

Les châpitres que nous nous sommes partagés :

• Politiques de l’écologie (15 pages)
• Fascisations de l’écologie (57 pages)
• Écologisation du fascisme (58 pages)
• La nature de l’écofascisme (53 pages)
• Clarifier le discours écologique (26 pages)

Au fait, c’est quoi un arpentage ? Il s’agit de se mettre à plusieurs pour se raconter un livre. Chacun choisit la partie qu’il veut lire, embarque avec lui un morceau du livre et apprès l’avoir lu attentivement, l’ami-e retouve ses autres ami-e-s pour raconter de vive voix ce qu’il a lu.
C’était une technique malicieuse pour les ouvriers de l’époque (fin XIXème) de trouver le temps de se réunir pour apprendre à connaitre un ouvrage sans avoir à passer beaucoup de temps à le lire et aussi permettre à d’autres, lors de la restitution publique d’appréhender l’ouvrage sans l’avoir lu.