Archive for the ‘Textes en français’ Category

Samedi 9 novembre 2013 : Assemblée antinucléaire du Grand Est – Bure

mardi, novembre 5th, 2013

AG-BonnetBure-2013NovAPPEL À L’ASSEMBLEE GENERALE DE BURE – ANTINUCLEAIRE DU GRAND EST
RÉSISTONS À CIGEO

Depuis 22 ans, les habitants de Bure et ses alentours, entre la Haute Marne, la Meuse et les Vosges ont eu l’horreur de voir arriver dossiers, scientifiques, experts, politiques nucléocrates venir ici enterrer le caca de l’industrie nucléaire qui n’a pu se retenir de le mouler coulant avant même d’avoir trouvé toilettes.

Les première cibles pour l’enfouissement déterminées par des critères géologique, Segréen en Maine-et-Loire, Fougères en Ille-et-Vilaine, la Vienne, la Charente, le Gard, n’en ont pas voulu (confère grosses mobilisations locales, les cars de CRS brûlés…). L’Etat, l’ANDRA (financée par des subventions publiques et par les producteurs de déchets radioactifs : EDF, Areva, CEA, hôpitaux, centres de recherche) et ses experts en démocratie technique, changent alors de stratégie et travaillent éperdument à préparer sociologiquement le terrain. Y aller doucement, tirer des conclusions des échecs passés. Le député PS Christian Bataille s’y emploie et élabore un cadre juridique (loi Bataille de 1991) permettant de peaufiner l’acceptabilité du projet, en ne proposant non pas un centre d’enfouissement – dans un premier temps – mais un laboratoire comme base d’expérimentation géologique mais surtout sociologique.
De nouveaux élus candidats à l’enfouissement mordent à l’hameçon, acceptent la proposition et avec elle les millions d’euros, les millions de nucléides, de flics, de générations condamnées. Le critère a accessoirement changé : prenez un territoire vide ou presque de forces d’opposition, sinistré par le chômage et l’exode rural, voilà de quoi transformer la condamnation d’une région et de ses habitants en opportunité de développement.

22 ans de politiques de l’acceptabilité, traduites par : la construction en 2000 du dit Laboratoire à Bure; la loi du 26 Juin 2006 statuant l’enfouissement des déchets en milieu profond comme l’un des seuls horizons possible et souhaitable pour la gestion des déjections nucléaires ; un copieux arrosage financier aux citoyens, associations, municipalités, élus, chambres d’agriculture etc., puis par la construction de plateformes de la filière nucléaire aux alentours (centres d’archivage d’AREVA et d’EDF, centre logistique pour pièce de réacteurs…). Tout cela en somme, dans l’idée de faire en sorte que le quotidien de chacun se construise avec le projet comme épée de Damoclès dans un coin de sa tête – dès lors le projet existe déjà.
Plus récemment, c’est par la mise en place d’un débat public – étape concrète du projet où le dit « public » est invité à venir co-construire et prendre note des modalités de son irradiation, et non de débattre du projet lui-même -, que la Commission des Débats Public et l’ANDRA souhaitaient légitimer démocratiquement « l’insertion du projet dans le territoire ».

Face à cette imposture, nombre d’individus ont décidé de ne plus laisser faire le processus d’acceptation d’un projet déjà décidé ou presque (1), que l’heure était à l’organisaction collective pour porter frontalement avec les moyens jugés bon le refus de CIGEO et de la filière nucléaire qui l’engendre. Quand aux débats, une fois sabotés et annulés, c’est maintenant sur internet que les experts rassurent les bons et dociles croyants.
L’assemblée tenue à l’occasion le 30 août à Bonnet lors du petit festival contre la grosse poubelle nucléaire a permis de comprendre qu’il fallait nécessairement une suite à cet élan de mobilisation active. Car si aucun déchet n’est à ce jour à Bure et que les chantiers sont prévus pour 2017, ce n’est pas l’urgence des cliquetis mécaniques des pelleteuses, ni le calendrier fixées par l’ANDRA ou par la CNDP qui doivent prédire l’heure et la date de nos actions collectives face à un projet bel et bien lancé. Une continuité de cette assemblée paraissait alors nécessaire à cette fin.
Ce à quoi nous appelons donc est une assemblé de lutte ouverte a toustes ceulles qui ressentent en eulles la nécessite croissante de forger une force d’organisation collective et déterminée contre CIGEO, permettant de tisser des liens entre les opposants et permettre la multiplicité des pratiques. Cette assemblée refuse toute tentative de récupération politiques ou associatives, elle se veut un temps de rencontres entre divers groupes d’opposants.es venus.es de plus ou moins loin, un temps d’élaboration collective basé sur l’horizontalité des prises de décisions.

Cette assemblée souhaite dépasser le cadre restreint du territoire de Bure, ce même cadre justement choisi par l’ANDRA pour son aptitude à l’acceptabilité. CIGEO est partout et tout le temps à la fois. Se battre aujourd’hui contre CIGEO nous apparaît comme une nécessité stratégique vitale. Parce qu’il est le chaînon manquant du programme nucléaire français et le gage de sa poursuite et de son renouvellement. Parce qu’empêcher l’implantation de ce centre, c’est certainement forcer l’arrêt de l’industrie nucléaire française qui sans ce centre n’aura d’autre choix que d’arrêter la production des déchets. Parce que CIGEO est aussi une opération de marketing vers l’étranger qui vise à donner au complexe nucléaire français l’image d’une maîtrise totale depuis l’extraction de l’uranium jusqu’au démantèlement des centrales, au retraitement et à la gestion des déchets radioactifs. Parce que se battre contre CIGEO c’est frapper un coup contre la politique énergétique française en générale qui veut faire de la France l’interrupteur de l’Europe et du Maghreb. Parce que CIGEO est l’aboutissement d’une série de nuisances imposées par l’industrie nucléaire (trains de déchets, lignes à Très Haute Tension, greenwashing avec les énergies renouvelables, réseaux électriques intelligents, compteurs intelligents Linky…). Parce que les flux de nucléides dégoulineront inéluctablement hors de Bure, cette assemblée bien que soulevée par le CIGEO de Bure, concerne le grand Est et bien plus.

L’actualité nous montre avec bonheur que personne n’a attendu la constitution de cette assemblée pour agir sur le terrain. Des actions de solidarité contre CIGEO et son monde sur des agences EDF / ErDF partout en France, font déjà de la lutte à Bure un mouvement vivant qu’il nous faut bien entendu alimenter.

1 – La loi du 28 juin 2006 sur l’enfouissement des déchet prévoit que le projet CIGEO soit soumis au Parlement en 2015, et on voit mal en effet l’Etat et son éboueur l’ANDRA devoir reporter encore l’aboutissement de sa sale besogne et continuer a produire sa mort en bidon sans afficher de pseudo solution.

RDV SAMEDI 09 NOVEMBRE, 10h30
Salle des fêtes de Bonnet :
ASSEMBLEE GENERALE DE BURE

DIMANCHE 10 / LUNDI 11: ATELIERS « A LA CARTE » & BALADES

Hébergement possible à la Maison de Bure / Prévoir couchages

http://nocigeo.noblogs.org/post/2013/11/05/appel-a-lassemblee-generale-de-bure-ag-antinucleaire-du-grand-est/

stopcigeo@riseup.net

Livraison d’une cocotte-minute à EDF : ben mince, ça éclabousse !

jeudi, octobre 17th, 2013

splashLe 13 Octobre 2013, une attaque contre un local EDF rennais a eu lieu dans le but d’opacifier la vitrine nucléaire afin de montrer sa vraie apparence.

L’apparence d’une industrie de trop, dirigée par des incapables aveuglé-e-s par leurs nombrils en forme de dollars. N’ayons pas confiance en ces nucléocrates qui nous parlent de sûreté, et par ailleurs lancent une commande de cocottes-minute (miam-miam) pour transporter des matières radioactives dans leurs usines de mort, ou encore cherchent à cacher leurs déjections nucléaires comme l’on recouvrirait un étron dans la forêt.K-do

Plutôt que de parler d’un problème de déchets ou de sûreté, luttons contre le problème de la gestion de l’énergie électrique par l’État. Le seul progrès de ce système, c’est celui de ses tentacules qui aseptisent, contrôlent de plus en plus nos vies. Heureusement, les membres de cette pieuvre sont palpables et, de fait, attaquables : lignes Très Haute Tension, trains de déchets nucléaires, projet de centre d’enfouissement de Bure, compteurs intelligents “Linky” qui fliquent notre consommation électrique, etc…

La décentralisation et l’autonomie énergétique sont possibles, il suffit de le vouloir. Mais cela est insuffisant; l’attaque acharnée contre le nucléaire et le monde qui l’engendre est plus que nécessaire, de tout temps et en tout lieu.

Que trépassent Vinci, Areva, RTE, leurs consorts, leurs milices!

La molette sans Molesse!Boom

 

Dimanche 29 septembre 2013 : Assemblée antinucléaire et antiTHT

vendredi, septembre 27th, 2013

EnTete

à la Grange de Montabot (50), à partir de 10h.

(Repas du midi : auberge espagnole)

Il y sera surement question des différents projets de publications, des projets de rencontres, et aussi des activités et autres travaux à la grange.

Nous parlerons probablement de la poursuite de la répression (convocations, procès) de la lutte, malgré les nouvelles relaxes prononcées le 26 septembre 2013.

Nous reviendrons aussi sur l’assemblée de bonnet/Bure qui eut lieu pendant le petit festival contre la grande poubelle nucléaire et sur la suite que nous pouvons donner ici et là contre CIGEO et contre ce que CIGEO signifie.

Et sans doute bien d’autres choses.

La Grange, lieu-dit la bossardière – Montabot (50)
route Percy-Montabot

INVITATION À LA GRANGE ANTINUCLÉAIRE

lundi, septembre 16th, 2013

TitreEnteteAffiche Invitation

Suite à de longues années de lutte contre la ligne THT Cotentin-Maine, l’assemblée anti-THT et anti-nucléaire du Grand Ouest a cherché à donner vie à un lieu pérenne qui permette de continuer à se réunir, s’organiser, se rencontrer et se retrouver.

Ce lieu, c’est une grange située à 900m de la ligne THT, sur la commune de Montabot. Depuis septembre 2012, nous rénovons ce bâtiment pour y accueillir réunions, ateliers, week-end thématiques, soirées projections, etc.

Ainsi, cette grange a accueilli différents événements depuis quelques mois : des ateliers et échanges de savoir autour de la rénovation du bâti ancien, le week-end d’inauguration (débats autour de la centralisation énergétique, …), une semaine féministe non-mixte, une présentation de la lutte contre un parc éolien à Oaxaca…

Aujourd’hui, il nous semble essentiel d’ouvrir ce lieu à des groupes qui luttent partout ailleurs contre l’emprise de la société gestionnaire sur nos vies. Cette volonté traduit pour nous une envie de partage d’expériences (naissance d’une lutte, actions, répressions, occupations et sabotage, …), premier pas vers la construction de liens durables et d’une confiance mutuelle.

Nous avons vécu de nombreux échanges grâce à la venue de personnes luttant sur la ZAD à Notre-dame-des-landes ou contre le centre d’enfouissement de déchets nucléaires de Bure, par exemple. De plus, lors d’un infotour en mai 2013, nous avons parcouru la France pour partager notre histoire de cette lutte anti-THT.

En retour, nous souhaitons que des collectifs d’ami-e-s (actuel-le-s ou en devenir) puissent investir la grange afin de raconter leur expérience mais surtout organiser la suite ensemble, ici et ailleurs. Il s’agit de se donner les moyens de construire des complicités qui permettent d’envisager des actions communes. Souder des solidarités au rythme de nos luttes, c’est leur donner une résonance partout ailleurs car nos luttes ne sont qu’une !
ContactBasdarticle

17 septembre 2013 – Soirée projection / discussion à Angers

dimanche, septembre 8th, 2013

soirée angers 170913.cleanedAffiche à télécharger pour impression                        Tract à télécharger pour impression

Prendre un peu de distance, partager le récit de nos aventures rocambolesques entre déboulonnages publics de pylônes THT, virées nocturnes en compagnie vigilesque, paperasses de tribunaux et autres cours d’appel, assemblées générales horizontales, gestion des massmedias et travail d’automedia, blocages de chantiers, occupations de bois et de château d’eau, débats interminables sur les modes d’action et la violence.
Mais encore, entendre d’autres histoires, celles aux abords de chantiers d’autoroutes ou lignes à grande vitesse, de centres d’enfouissement de déchets radioactifs, de lignes THT, de gaz de couche ou de schistes, et bien d’autres…

Ce n’est pas l’achèvement de la ligne THT Cotentin-Maine, ni la répression qui l’accompagne (comme avec le procès de ce 19 septembre 2013 à Angers), qui ont entamé notre détermination et
notre désir de continuer. Au contraire, car nous pensons que les liens tissés ici et là constituent notre force. En nous organisant ensemble, au-delà des frontières administratives et thématiques, et de nos divergences politiques, nous pouvons non seulement gagner quelque chose mais aussi tisser des amitiés et des solidarités pour pouvoir mieux en faire baver à celleux d’en face, voire y prendre un certain plaisir.

19 septembre 2013 : Procès en appel à Angers !

dimanche, septembre 8th, 2013

proces2013sept19Affiche à télécharger pour impression           Tract à télécharger pour impression

Un militant de la lutte antiTHT est poursuivi de violences envers une personne dépositaire de l’autorité publique sous prétexte de s’être garé trop près d’une gendarme qui se prétend victime au point d’avoir obtenu 300 euros de dommages et intérêts ainsi que le remboursement de ses frais d’avocat en première instance à Laval (53).

Ces poursuites ne sont que la concrétisation d’un harcèlement des autorités (préfecture, gendarmes, RTE, etc) envers les populations sous le tracé de la ligne THT Cotentin-Maine, au point de se demander qui est vraiment la victime dans cette affaire.

Comme de nombreux/euses opposant-e-s à la ligne THT Cotentin-Maine, le prévenu du jour n’a pas manqué de faire l’objet de contrôles routiers incessants et de fouilles régulières de son véhicule tout au long de l’année 2012.

Ce harcèlement atteint son apogée le 28 avril 2012 quand, après avoir participé à une randonnée sous les pylônes à Saint Cyr le Gravelais, deux motards et un véhicule de gendarmerie l’escortent jusqu’à son domicile sans pour autant lui octroyer le statut de VIP.

Un hameau devenu zone interdite : Le Mesnil à St Pierre des Landes (53)

Notre ami a en outre le malheur de toujours être présent quand la solidarité avec les riverain-e-s s’avère nécessaire. Ce qui fut le cas chez des riverains du Mesnil à Saint Pierre des Landes qui s’opposaient à l’implantation d’un pylône et à la destruction d’arbres et du biotope d’un plan d’eau.

Ainsi le 1er juin 2012, à la simple annonce du début d’un chantier de la ligne sur le Mesnil, l’accès au hameau lui est refusé par la gendarmerie (sans décision de justice d’aucune sorte ni raison valable).

Le lendemain, si comme une cinquantaine de personnes solidaires, il a pu rejoindre une parcelle privée pour assister à une conférence de presse. Il fut lui comme les autres, y compris les propriétaires des lieux, expulsé violemment du terrain.

Le 4 juillet 2012, alors que venait de débuter le chantier prévu un mois plus tôt, c’est encore l’ensemble du hameau qui est déclaré zone interdite par la maréchaussée, obligeant le militant aujourd’hui en procès à laisser son véhicule (après menace de contravention pour stationnement gênant) sur le bas côté. Un comble, alors qu’un véhicule de gendarmerie entravait sans aucun motif légal le passage d’accès au village.

C’est en ce début du mois de juillet 2012 (les 4 et 5 juillet) que suite aux exactions gendarmesques menées sous l’égide de RTE et de la préfecture de la Mayenne au Mesnil, une plainte collective est déposée par les habitant-e-s affecté-e-s par le chantier et la ligne, avec certain-e-s de leurs soutiens. Ceci pour dénoncer les entraves à la liberté individuelle et la complicité de dégradation volontaire de la propriété d’autrui.

Il semblerait que le 6 juillet 2012, la gendarme citée ci-dessus se soit subitement rendue compte qu’elle fut victime de violence de par la peur occasionnée par la manœuvre du véhicule se garant à sa proximité, déposant alors plainte pour ces faits. Vu la présence des gendarmes sur les lieux, l’accusé n’aurait-il pas été arrêté en flagrant délit dès le 4 juillet s’il avait vraiment représenté une menace de violence.

Cette peur et la plainte qui a suivi ont donné lieu a une mobilisation digne de l’ennemi public numéro 1, le 10 juillet 2012. À 8h du matin, au domicile du militant, une opération de type antiterrorisme fut entreprise afin de l’interpeller et ce, avec une violence sans commune mesure avec celle qu’il aurait soi-disant occasionnée en se garant six jours plus tôt. Au bout de 9 h de garde à vue, et après le refus du prélèvemebt de son ADN, il se voyait notifier une convocation au tribunal qui nous amène ce 19 septembre à Angers.

Pendant ce temps là, les plaintes déposés par les riverain-e-s et militant-e-s du Mesnil ont été classées sans suite, nécessitant le dépôt d’une caution de 1000€ chacun-e pour que soit mandaté un juge d’instruction. Le motif ? « les faits dont vous vous êtes plaint ne sont pas punis par la loi ». L’article 432-4 du code pénal (entrave à la liberté individuelle par une personne dépositaire de l’autorité publique)ne serait-il plus en vigueur?

C’est donc par le porte-monnaie qu’on veut nous reconvertir. Ces diverses manipulations, intimidations, inculpations, accusations mensongères, et le fonctionnement de notre justice qui nous coûte cher ne font que renforcer notre détermination.

Une soirée Infotour sur la lutte antiTHT aura lieu en amont et en solidarité le 17 septembre à l’Étincelle, 26 rue Maillé à Angers.

Face à ces procédures qui s’enchainent et les frais de justice qui s’amoncèlent…La solidarité financière est aussi de mise pour pouvoir faire face à la répression : Merci d’envoyer vos dons à l’Association pour la solidarité et l’aide juridique (chèque à l’ordre de APSAJ, mention THT au dos), 6 cours des alliés, 35000 RENNES.

7 septembre 2013 à la grange de Montabot : « Defensa del territorio »

lundi, août 26th, 2013

Luttes sociales et défense des terres
en Amérique centrale

Affiche DiscutMontabot2013sept07b

19h30 : DISCUSSION-PROJECTION
SUR LES LUTTES AU MEXIQUE

avec le film « Somos Viento » (Nous sommes le vent)

Repas à prix libre

Après plus de 500 ans de pillage de ses richesses, l’Amérique latine est une fois de plus le centre d’intérêts de nombreuses multinationales et notables locaux. Implantation de mines, de parcs éoliens, d’écotourisme, de barrages,… gouvernements et entreprises ne cessent de voler, expulser, séquestrer, assassiner,… afin de s’enrichir encore et encore.

Face à cette situation, de nombreuses communautés indigènes et paysannes ainsi que d’autres groupes et individus s’organisent, se mobilisent et se soutiennent.

Actuellement, certains collectifs de Oaxaca et du Chiapas mettent en place une caravane itinérante afin de faire connaître et participer aux résistances de ces communautés contre les multiples «megapoyectos» (mégas-projets), contribuer aux solidarités qui se construisent dans ce contexte de luttes à travers l’Amérique centrale.

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waterpump-1Les 6 et 7 septembre auront lieu à la grange de Montabot des ateliers pour l’autonomie matérielle et énergétique.

 

 La Grange de Montabot, un lieu pour la lutte
 La Bossardière - Route Percy/Montabot
Contacts : montabot[at]riseup.net / 06 28 94 72 13

11 août 2013 : Assemblée antinucléaire et antiTHT

jeudi, août 8th, 2013

à la Grange de Montabot (50), à partir de 10h.

(Repas du midi : auberge espagnole)

Point thématique principal :

La grange de Montabot, un lieu pour la lutte

Nous discuterons aussi des différents projets (rencontres, recueils sonores, plusieurs brochures, un nouveau film) et, probablement de bien d’autres choses .

Différents points d’info pourront avoir lieu sur les procès et l’anti-répression, sur Bure (Réunions publiques pour l’enfouissement, festival et prochaine assemblée qui s’y déroulera le 1er septembre 2013), le camp qui débute le 23 août en Catalogne, etc.

La Grange, lieu-dit la bossardière – Montabot (50)